Un accord rayonnant encadre un thème victorieux joué par quatre trombones : le héros atteint le sommet de la montagne que Strauss nous fait gravir depuis le début de la symphonie. Victoire !
Après l’exploit, c’est le moment de la contemplation, exprimé par le timbre pastoral du hautbois.
Un premier retour de l’orchestre rappelle la majesté de la nature.
Avec le deuxième retour de l’orchestre, la nature semble célébrer l’exploit du héros par l’entrée galvanisante des trombones soutenus par des roulements de timbales.
Strauss me donne des ailes !